Ascertaining the level of fertility preference implementation in Nigeria

Abstract

Abstract Using the 1990 and 2003 Nigeria Demographic and Health Survey (NDHS) data, the study examines the levels of, trend and differentials in fertility preference implementation in Nigeria and how this has contributed to observed fertility changes in the country. Results show that the extent to which women implement their fertility preference is high and increased by about 4% over the period. Its contribution to observed fertility decline of 0.5 births was however small (6%). The index also increased over the period by the various characteristics of women examined except among respondents with tertiary level of education and women from the South West. Percentage change is high among women from rural areas, the North-East and women with no formal education. The pattern among different categories of couples shows that preference implementation is higher among cohabiting, monogamously married and concordant couples. The paper concludes with program and research recommendations.Keywords: Fertility; preference; implementation; index; NigeriaResume Utilisant les données de L’Enquête Démographique et de Santé du Nigeria pour les années 1990 et 2003, l'étude examine les niveaux, tendances et différences dans la mise en oeuvre des préférences de fécondité au Nigeria et comment cela a contribué aux changements observés dans la fécondité. Les résultats montrent que le degré auquel les femmes adhèrent à leurs préférences de fécondité est élevé et a augmenté d'environs 4 % sur cette période. La contribution de celui-ci à la baisse en fécondité de 0.5 naissances était cependant petite (6 %). L'index a également augmenté pendant cette période par les diverses caractéristiques des femmes examinées, sauf parmi les répondants de niveau universitaire et les femmes du Sud-ouest. Le changement en pourcentage est élevé chez les femmes en milieu rural, au Nord-est et les femmes illettrées. La constante parmi les différentes catégories de couples montre que l’adhérence à ces préférences est plus élevée chez les couples qui cohabitent, mariés monogames et les couples concordants. Le document se conclut par des recommandations de programme et recherche.